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Alias : Seven
Âge : 48 ans
Emploi | Grade : Corpse Diver
Classe sociale : RICHE
Habitation : Appartement - New Soho
Messages : 7
Date d'inscription : 16/10/2024
XP : 0
# System Log Last Entry :
[ficheA][name]Mary Redstone[/name]
[gif]
[/gif]
[citation]"L'homme est un loup pour l'homme, Mary.
- C'est quoi, un loup, papa ?
- ... Je sais pas."[/citation]
[avatar]
[/avatar][subtitleFiche]CARTE D'IDENTITÉ[/subtitleFiche]
[highlight]Prénom/Nom[/highlight] : Mary Redstone
[highlight]Pseudo/alias[/highlight] : Seven
[highlight]Date et lieu de naissance[/highlight] : 19 août 2129, Cloud City
[highlight]Métier[/highlight] : Corpse Diver
[highlight]Assurance CRISIS[/highlight] : Non
[highlight]Lieu de résidence[/highlight] : Appartement - New Soho
[highlight]Catégorie sociale[/highlight] : Riche
[highlight]Ft.[/highlight] : Jennifer Connelly
[tabbarFiche][caractere]
Mary est quelqu'un de pragmatique et de rationnel, et a des idées bien tranchées sur pas mal de questions. Son âge, vénérable pour Cloud City, lui a donné l'expérience suffisante pour jauger les gens assez vite, l'assurance pour éviter les pièges tendus par ses éventuels ennemis ou rivaux, et l'aisance pour être à sa place où qu'elle aille.
Elle est plutôt solitaire, s'attachant difficilement aux gens. Elle estime que c'est très probablement dû à son métier, qui lui montre tous les jours que l'humain est éphémère et fragile. Elle a ramassé son dernier homme dans la rue, ils ont échangé quelques mots une nuit entre deux câlineries, et elle ne l'a plus jamais revu. Peu importe. Elle en trouvera un autre, quand elle aura le temps.
Malgré sa vie en solo ou presque, elle adore la foule. Se mêler à une foule grouillante lui procure des sensations exquises, comme si elle était une goutte d'écume portée par les vagues d'un océan. L'anonymat, la sensation d'être le seul être conscient sur Terre, c'est encore mieux en écoutant une bonne musique électro.
C'est pour ça qu'elle a choisi de s'installer à New Soho, le poumon vibrant et multicolore de Cloud City. Elle y trouve tout ce qu'elle aime : une boîte de nuit tendance, un restaurant chinois, et bien entendu des boutiques de luxe.
Bien que sa profession soit parfois considérée comme profondément immorale, Mary a un grand sens de l'honneur, qu'elle adapte néanmoins à certaines situations. Le premier client a toujours raison, mais le second peut tenter sa chance...
Méthodique, efficace, professionnelle et digne de confiance, sont les adjectifs que ses clients utilisent le plus souvent. Dépensière, hautaine, ambitieuse et autoritaire, sont ceux que les gens qui la connaissent le mieux préfèrent éviter d'utiliser en sa présence.
[/caractere][physique]
La première chose que l'on remarque chez Mary, c'est sa taille. Elle dépasse de nombreuses femmes d'une bonne tête, et l'effet est accentué par la longueur de ses jambes et sa silhouette affinée.
La seconde chose, c'est son âge. Un âge plutôt improbable, ici à Cloud City. Pour éviter les haussements de sourcils, elle fait tout son possible pour dissimuler ses rides sous des fonds de teint hors de prix. La plupart du temps, ça marche, et les gens lui donnent dix ans de moins assez facilement. Mais n'ayez pas peur au réveil !
Ses cheveux noirs dont la longueur varie selon ses envies et les stocks d'extensions chez son coiffeur préféré, ses yeux verts virant au gris-vert selon la lumière, son minuscule grain de beauté sur la lèvre supérieure, sont les principales choses qui ravissent ses conquêtes. Puis, ils découvrent les cicatrices, nombreuses et anciennes, surtout aux jambes et aux bras. D'abord étonnés, ils sont ensuite absorbés par ce tatouage étrange sur l'omoplate droit : un V flanqué de deux I sous ses deux extrémités, symbolisant de manière stylisée l'initiale de Mary, ainsi que le chiffre sept romain.
Ses différents implants ornent ses doigts de fines lignes argentées, qu'elle a spécifiquement fait ciseler pour les rendre plus élégantes.
Afin de se perfectionner dans sa profession, elle a subi un entraînement intensif pour augmenter son agilité et son endurance, sa souplesse et sa discrétion. Si dans sa jeunesse, elle aurait pu impressionner les gymnastes les plus doués, aujourd'hui, ses implants, notamment ses Fat Paws, l'aident à compenser les éventuelles défaillances causées par l'âge. Sa concentration et son sang-froid, eux, ne faillissent jamais. Ses implants manuels l'aident aussi de ce côté, mais elle les a fait installer plus par prévention que par nécessité.[/physique][histoire]
Cloud City, High Cloud, 07.04.2177, 02:36.
Essoufflée, Mary sort du lit en titubant un peu. Pour un type rencontré en boîte il y a à peine quelques heures, il semble déjà si bien la connaître que c'en est presque effrayant.
Elle enfile rapidement un des longs t-shirts noirs qu'elle a l'habitude de porter. Dans le réfrigérateur de sa dernière conquête, elle trouve une bouteille d'eau fraîche, et en prend une large gorgée.
- Hé, j'en veux bien un peu, dit l'homme en sueur encore allongé dans son lit.
Elle lui tend la bouteille, il la remercie de ce sourire et de ce clin d'oeil qui l'ont tout de suite appâtée. L'homme est jeune, peut-être même pas la trentaine, une courte crête de cheveux blonds et bleus orne son crâne tatoué. Etrangement, c'est le seul endroit qu'il s'est fait tatouer. D'habitude, les gens commencent par les bras, le torse, ou le dos. Lui, il a choisi un des endroits les plus douloureux dès le début. Il était sans doute shooté lorsqu'il l'a fait faire. Il porte une barbe assez longue, pas vraiment le genre de Mary, mais sa silhouette affûtée, ses yeux bleus et ses magnifiques implants dorés sur tout le corps ont largement achevé de la convaincre.
Elle va s'asseoir dans un fauteuil en face de lui, éclairée par les lumières de la ville à travers les stores. Quand il a ouvert la porte de son appartement de High Cloud, elle a tout de suite été choquée par sa vétusté : un parquet de bois aux motifs basiques, des moulures défraîchies, des tentures démodées depuis au moins cinq ans aux fenêtres, une télévision d'à peine un mètre sur deux, un lit sans oreillers rafraîchissants et seulement six tapis dans tout l'appartement. Une vraie ruine. Elle n'est pas allée visiter son dressing, mais elle n'est même pas sûre qu'il en a un.
- Alors, demande-t-il, toujours allongé, qu'est-ce qui t'amène à Cloud City ?
Elle ne s'attendait pas à cette question. Le plan était de passer la nuit chez lui et de filer fissa dès l'aube avec la ferme intention de l'oublier très vite, pas de commencer à tisser des liens avec un parfait inconnu.
- Je suis née ici.
- Vraiment ? Tu as l'air si...
- Détachée ?
- Voilà.
- C'est normal, dit-elle en haussant les épaules. J'évite de m'attacher aux gens ou aux endroits.
- Mais tu as bien de la famille ici, pourtant ?
- J'avais une famille, oui. Mes parents étaient des Anti-C un peu farfelus qui tenaient une épicerie. J'ai travaillé avec eux pendant pas mal de temps avant de changer d'air. Ils croyaient à une conspiration organisée par des reptiliens venus de je ne sais plus quelle étoile, qui nous contrôlaient via les consoles, c'est pour ça qu'ils n'en avaient pas. J'y croyais aussi avant, mais quand j'ai eu ma première console pour mon premier vrai boulot, j'ai vu que personne ne me contrôlait. Et puis, nos chemins ont divergé. Je n'ai plus de nouvelles depuis des années.
- Merde. C'est important, la famille.
- Je sais...
- C'était quoi, ton premier vrai boulot ?
Encore des questions. Ne va-t-il donc jamais s'arrêter ? Elle soupire. Elle est chez lui, elle doit donc se plier à ses règles et respecter son hôte.
- J'ai commencé à l'hôpital Phoboz du Loop comme aide-soignante. Je n'aimais pas particulièrement prendre soin des patients, mais j'adorais comprendre comment fonctionne le corps et à quelle vitesse. Et puis, j'ai fini par assister un grand chirurgien. Il m'a appris à comprendre les moindres rouages du corps humain, quels nerfs, quelles parties du cerveau servent à assimiler les implants, comment ils affectent notre organisme et comment une symbiose parfaite fonctionne. C'était un homme fascinant.
A ces mots, elle marque une pause, son regard se perdant dans ses souvenirs. La disparition tragique suite à une grave erreur médicale de celui qui fut son professeur, ami et amant, continue de l'affecter.
- Et ? insiste-t-il.
Mary lui sourit, croise les jambes, prend ses aises dans le fauteuil. Visiblement, l'entendre raconter sa vie le passionne. Soit. Elle n'a pas fait ça depuis si longtemps qu'elle a oublié ce que c'était d'être écoutée.
- Et j'ai fini par démissionner, dit-elle sans rentrer dans les détails de sa vie privée. C'était en 2164.
L'homme reprend une gorgée d'eau, change de position sur le lit.
- Et maintenant, tu fais quoi ?
La question fatidique. Mary a toujours un court moment d'hésitation avant de répondre.
- Je suis Corpse Diver.
Il a un hoquet du surprise, mais Mary n'y fait pas attention. Ça fait treize ans qu'elle fait ce métier, elle est habituée depuis longtemps à toutes sortes de réactions.
- Tu... es une Désoss' ?
- Non.
Elle a expliqué la différence entre elle et ces charognards tant de fois qu'elle en est lasse. Un simple "non" devrait lui suffire.
- Bien sûr que si, insiste-t-il.
Bon. Ce "non" n'est apparemment pas suffisant. Elle se lève et va le rejoindre sur le lit, parcourt son corps du bout de ses doigts.
- Les Désosseurs sont de vulgaires bouchers, grossiers, avides, comme des hyènes affamées.
L'index et le majeur effleurent l'épaule, glissent sur la nuque et les ports neuronaux de l'homme.
- Moi, continue-t-elle, je suis une artiste. On me paie cher pour mes services, parce que je suis discrète, et que je fais un travail propre. Les implants que je retire aux corps fraîchement décédés sont toujours en parfait état, nettoyés de leurs éventuels virus, prêts à l'emploi, repartis pour une nouvelle vie dans un nouveau corps. Et on me paie encore plus cher pour rapporter des puces ou des implants de grande valeur intacts sans poser de questions.
L'homme ferme les yeux sous les caresses, mais Mary le sent quand même un peu tendu. Réaction normale lors d'une discussion de ce genre.
- Tu fais quand même la même chose que les Désoss'. Pas la peine de dire que tu fais ça proprement. Tu pilles les cadavres.
- Je les laisse presque toujours là où je les trouve, pour qu'ils soient facilement retrouvés, contrairement aux Désosseurs qui les traînent dans leur antre. Je ne les charcute pas, je n'arrache rien. Tout est très... précis.
Lorsqu'elle prononce ce dernier mot, sa main gauche se déplie, dévoilant plusieurs outils de chirurgie. D'habitude, elle récite son petit texte de manière machinale, l'ayant tant de fois répété. Mais ce soir, sans trop savoir pourquoi, elle décide d'y mettre un petit grain de fantaisie.
- Tu travailles pour les Corpos, j'imagine ?
- Oui, entre autres. Ce sont eux qui paient le mieux, pourquoi m'en priver ?
- Ce n'est pas dangereux ? Tu n'as pas peur de te retrouver dans des affaires sordides ?
- Si, et ça m'est déjà arrivé.
A cet instant, sa vue se brouille et sa tête se met à vibrer. Elle pousse un cri pendant que défilent devant ses yeux des images floues, comme un programme télévisé crypté.
- J'ai tout enregistré, "Seven", entend-elle comme s'il était dans une pièce voisine. C'est bien comme ça qu'on t'appelle, hein, toi qui as sorti sept implants de ton premier contrat alors qu'on ne t'en demandait qu'un ? Eh oui, ma grande, je sais pas mal de choses sur toi. Et je vais continuer d'enregistrer. Comme ça, les huiles d'Osinski pourront en profiter. Qui sait, ils me paieront peut-être plus cher que toi pour ce joli film qu'on va faire tous les deux !
Elle l'entend rire pendant qu'elle s'écroule au sol, rampe pour tenter de fuir. Elle a l'impression que son crâne va exploser, et peut-être que ce sera le cas si elle ne trouve pas rapidement une solution.
Il s'approche, l'attrape par les cheveux. Elle pousse un cri, mais pas de plaisir, cette fois.
- Ma mission parlait d'une puce très très très importante pour eux, que tu aurais découpée sur un type de chez eux qui s'est fait refroidir, il y a quelques semaines. Ça disait aussi, ajoute-t-il très lentement en resserrant son étreinte, que tu les aurais doublés pour la revendre plus cher à Matratech.
Mary s'aggrippe à son poignet, tente de le faire lâcher prise, en vain.
- Eh bien, figure-toi que chez Osinski, ils n'ont pas du tout apprécié.
- C'est... c'est Matratech... Ils ont essayé de me buter...
Il la lâche enfin, elle s'éloigne rapidement, se plaque contre un mur. Sa vision redevient progressivement aussi nette qu'avant.
- Ne me mens pas ! crie-t-il. Je sais très bien qu'ils t'ont simplement payée plus cher !
- Oui, dit-elle en retrouvant son souffle. Après avoir essayé de me buter.
La tendance s'inverse. L'homme, auparavant plein de confiance en lui, commence à perdre patience. Mary, auparavant désemparée, n'attend qu'une erreur de sa part.
Et cette erreur ne tarde pas à arriver.
L'homme a dégainé un vulgaire couteau de cuisine.
- Tu aimes charcuter les gens, hein ? Moi aussi, dit-il. Mais moi, je ne fais pas ça proprement.
Il rit à nouveau alors qu'il se penche vers elle, visant visiblement sa console. Aussitôt, elle déploie son Hand-Kit aux deux mains et le larde de coups grâce à ses bistouris, scalpels et autres ciseaux. Le sang fuit par les dizaines de blessures pas plus larges que des coupures, et il s'écarte d'un bond en hurlant. Mary attrape ses vêtements, sachant très bien que plus personne ne peut plus rien pour lui. Les coupures, trop nombreuses, certaines trop profondes, ont fait d'énormes dégâts. Il tombe à genoux, grogne de douleur et de colère, et Mary sait qu'il ne peut plus rien y faire. Elle prend donc son temps pour se rhabiller, afin de ne pas attirer l'attention une fois dans la rue. L'homme la traite de tous les noms entre deux gargouillis, et elle entend les voisins taper aux murs pour faire cesser ce vacarme.
Pendant un instant, elle considère l'idée d'attendre qu'il meure pour lui retirer ses implants. Mais c'est trop risqué, quelqu'un pourrait la surprendre en plein travail. Et puis, un bête système de piratage ne vaut pas grand-chose en ce moment.
Elle le laisse donc là, baignant dans son sang. A ce stade, ce n'est plus qu'une question de secondes.
Une fois dehors, elle prend une profonde inspiration. Elle a pris trop de risques, ce soir. Il faudra qu'elle fasse encore plus attention à l'avenir.
A quelques pas de l'entrée de l'immeuble, elle retrouve sa moto noire aux roues ornées de néons orange. Elle démarre, et au bout de quelques centaines de mètres, elle a déjà oublié le visage de son agresseur. Elle n'a à présent qu'un objectif en tête : retrouver son lit aux oreillers rafraîchissants et y dormir pendant douze longues heures.[/histoire]
[sousSection option="PLACE A CLOUD CITY"][subtitleFiche]Groupe principal[/subtitleFiche]
[arrow] Outlaw
[subtitleFiche]Sous-groupe[/subtitleFiche]
[arrow] Indépendante
[subtitleFiche]Opinion du personnage[/subtitleFiche]
[arrow] En tant qu'Outlaw, Mary se rend bien compte que ce n'est pas la branche la plus facile à Cloud City. Beaucoup, comme son père, développent une paranoïa chronique qui les pousse à la folie pure. Heureusement, ce n'est pas le cas de Mary. En tant qu'indépendante, elle n'a que très peu d'attaches, et sait quand et où fuir. Toujours avoir un plan B, un plan C et un plan D. Si on veut éviter de finir cyberpsycho, c'est la meilleure voie à suivre.
[arrow] Les civils et les anti-C font partie du décor de la ville. Chanceux sont ceux qui parviennent à survivre, et bienheureux sont ceux qui échappent au moindre danger. C'est une vie ordinaire dans une ville extraordinaire, ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose. Ils sont les cuivres et les cordes de l'orchestre de Cloud City : indispensables, omniprésents, mais pas très originaux. Mary elle-même est issue de ce milieu, mais malgré son attachement à ses racines, elle est bien contente d'en être sortie.
[arrow] Pour Mary, la Cloud City Police représente les percussions de l'orchestre : elle donne le rythme, sourde, forte, grondante, vibrante, s'impose au bon moment, et disparaît en laissant son empreinte dans les estomacs - parfois littéralement. Autorité, ordre, discipline, et pas de seconde chance. Si elle avait voulu moins bien gagner sa vie, elle l'aurait peut-être rejointe.
[arrow] Les Mercs sont ces instruments étranges, venus de pays lointains, qu'on intègre dans un orchestre classique pour y donner un peu de couleur. Une explosion, la une du journal, et puis plus rien, jusqu'à la prochaine fois. Parfois, le choix de l'instrument a eu un tel succès qu'on en parle pendant des années, et c'est comme ça que naissent les légendes. Mary n'a jamais été attirée par ce mode de vie. Trop aléatoire, trop dangereux, espérance de vie trop courte. Mais elle respecte profondément ceux qui parviennent à se faire un nom.
[arrow] Les Corpos sont bien entendu les chefs d'orchestre. Tous les instruments jouent en suivant leurs moindres faits et gestes, parfois pour le meilleur, souvent pour le pire. Mary, elle, y trouve son compte. Son métier, très peu répandu parce que très peu connu, lui rapporte des sommes confortables, et elle se considère comme ayant "tous les avantages des Corpos sans les inconvénients".
[/sousSection]
[sousSection option="DERRIÈRE L'ECRAN"][float]
[/float][arrow] Votre pseudo sur le net ? Marv, Dag, ou Marvdag
[arrow] Comment avez-vous découvert le forum ? J'ai tapé "forum RP SF" sur Google, et ce forum était en première place. Je cherchais du cuivre, je ne m'attendais pas à trouver de l'or !
[arrow] Connaissez-vous un peu l’univers de Cyberpunk ou vous le découvrez ici ? J'ai toujours adoré le transhumanisme, les dystopies, les années 80 et le synthwave, sans savoir qu'il existait un genre qui réunissait tout ça. Quand le jeu est sorti, je me suis plongée dedans et je suis devenue tout de suite accro (j'avais très peu de bugs contrairement à pas mal de gens, donc j'ai pu apprécier toute la beauté du jeu sans problème). J'ai aussi découvert que mon chéri, ancien rôliste averti, possédait une impressionnante collection de bouquins du jeu de rôle Cyberpunk 2020, et je les ai dévorés en quelques jours !
[arrow] Par rapport au système d’avertissement PEGI, y a-t-il des thématiques et sous-thématiques auxquelles vous préférez éviter d’être confronté ? Absolument aucun, faites-vous plaiz !
[arrow] Confirmation que vous avez lu et que vous acceptez le règlement : Règlement lu et accepté
[/sousSection]
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[/gif][citation]"L'homme est un loup pour l'homme, Mary.
- C'est quoi, un loup, papa ?
- ... Je sais pas."[/citation]
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[/avatar][subtitleFiche]CARTE D'IDENTITÉ[/subtitleFiche][highlight]Prénom/Nom[/highlight] : Mary Redstone
[highlight]Pseudo/alias[/highlight] : Seven
[highlight]Date et lieu de naissance[/highlight] : 19 août 2129, Cloud City
[highlight]Métier[/highlight] : Corpse Diver
[highlight]Assurance CRISIS[/highlight] : Non
[highlight]Lieu de résidence[/highlight] : Appartement - New Soho
[highlight]Catégorie sociale[/highlight] : Riche
[highlight]Ft.[/highlight] : Jennifer Connelly
[tabbarFiche][caractere]
Mary est quelqu'un de pragmatique et de rationnel, et a des idées bien tranchées sur pas mal de questions. Son âge, vénérable pour Cloud City, lui a donné l'expérience suffisante pour jauger les gens assez vite, l'assurance pour éviter les pièges tendus par ses éventuels ennemis ou rivaux, et l'aisance pour être à sa place où qu'elle aille.
Elle est plutôt solitaire, s'attachant difficilement aux gens. Elle estime que c'est très probablement dû à son métier, qui lui montre tous les jours que l'humain est éphémère et fragile. Elle a ramassé son dernier homme dans la rue, ils ont échangé quelques mots une nuit entre deux câlineries, et elle ne l'a plus jamais revu. Peu importe. Elle en trouvera un autre, quand elle aura le temps.
Malgré sa vie en solo ou presque, elle adore la foule. Se mêler à une foule grouillante lui procure des sensations exquises, comme si elle était une goutte d'écume portée par les vagues d'un océan. L'anonymat, la sensation d'être le seul être conscient sur Terre, c'est encore mieux en écoutant une bonne musique électro.
C'est pour ça qu'elle a choisi de s'installer à New Soho, le poumon vibrant et multicolore de Cloud City. Elle y trouve tout ce qu'elle aime : une boîte de nuit tendance, un restaurant chinois, et bien entendu des boutiques de luxe.
Bien que sa profession soit parfois considérée comme profondément immorale, Mary a un grand sens de l'honneur, qu'elle adapte néanmoins à certaines situations. Le premier client a toujours raison, mais le second peut tenter sa chance...
Méthodique, efficace, professionnelle et digne de confiance, sont les adjectifs que ses clients utilisent le plus souvent. Dépensière, hautaine, ambitieuse et autoritaire, sont ceux que les gens qui la connaissent le mieux préfèrent éviter d'utiliser en sa présence.
[/caractere][physique]
La première chose que l'on remarque chez Mary, c'est sa taille. Elle dépasse de nombreuses femmes d'une bonne tête, et l'effet est accentué par la longueur de ses jambes et sa silhouette affinée.
La seconde chose, c'est son âge. Un âge plutôt improbable, ici à Cloud City. Pour éviter les haussements de sourcils, elle fait tout son possible pour dissimuler ses rides sous des fonds de teint hors de prix. La plupart du temps, ça marche, et les gens lui donnent dix ans de moins assez facilement. Mais n'ayez pas peur au réveil !
Ses cheveux noirs dont la longueur varie selon ses envies et les stocks d'extensions chez son coiffeur préféré, ses yeux verts virant au gris-vert selon la lumière, son minuscule grain de beauté sur la lèvre supérieure, sont les principales choses qui ravissent ses conquêtes. Puis, ils découvrent les cicatrices, nombreuses et anciennes, surtout aux jambes et aux bras. D'abord étonnés, ils sont ensuite absorbés par ce tatouage étrange sur l'omoplate droit : un V flanqué de deux I sous ses deux extrémités, symbolisant de manière stylisée l'initiale de Mary, ainsi que le chiffre sept romain.
Ses différents implants ornent ses doigts de fines lignes argentées, qu'elle a spécifiquement fait ciseler pour les rendre plus élégantes.
Afin de se perfectionner dans sa profession, elle a subi un entraînement intensif pour augmenter son agilité et son endurance, sa souplesse et sa discrétion. Si dans sa jeunesse, elle aurait pu impressionner les gymnastes les plus doués, aujourd'hui, ses implants, notamment ses Fat Paws, l'aident à compenser les éventuelles défaillances causées par l'âge. Sa concentration et son sang-froid, eux, ne faillissent jamais. Ses implants manuels l'aident aussi de ce côté, mais elle les a fait installer plus par prévention que par nécessité.[/physique][histoire]
Cloud City, High Cloud, 07.04.2177, 02:36.
Essoufflée, Mary sort du lit en titubant un peu. Pour un type rencontré en boîte il y a à peine quelques heures, il semble déjà si bien la connaître que c'en est presque effrayant.
Elle enfile rapidement un des longs t-shirts noirs qu'elle a l'habitude de porter. Dans le réfrigérateur de sa dernière conquête, elle trouve une bouteille d'eau fraîche, et en prend une large gorgée.
- Hé, j'en veux bien un peu, dit l'homme en sueur encore allongé dans son lit.
Elle lui tend la bouteille, il la remercie de ce sourire et de ce clin d'oeil qui l'ont tout de suite appâtée. L'homme est jeune, peut-être même pas la trentaine, une courte crête de cheveux blonds et bleus orne son crâne tatoué. Etrangement, c'est le seul endroit qu'il s'est fait tatouer. D'habitude, les gens commencent par les bras, le torse, ou le dos. Lui, il a choisi un des endroits les plus douloureux dès le début. Il était sans doute shooté lorsqu'il l'a fait faire. Il porte une barbe assez longue, pas vraiment le genre de Mary, mais sa silhouette affûtée, ses yeux bleus et ses magnifiques implants dorés sur tout le corps ont largement achevé de la convaincre.
Elle va s'asseoir dans un fauteuil en face de lui, éclairée par les lumières de la ville à travers les stores. Quand il a ouvert la porte de son appartement de High Cloud, elle a tout de suite été choquée par sa vétusté : un parquet de bois aux motifs basiques, des moulures défraîchies, des tentures démodées depuis au moins cinq ans aux fenêtres, une télévision d'à peine un mètre sur deux, un lit sans oreillers rafraîchissants et seulement six tapis dans tout l'appartement. Une vraie ruine. Elle n'est pas allée visiter son dressing, mais elle n'est même pas sûre qu'il en a un.
- Alors, demande-t-il, toujours allongé, qu'est-ce qui t'amène à Cloud City ?
Elle ne s'attendait pas à cette question. Le plan était de passer la nuit chez lui et de filer fissa dès l'aube avec la ferme intention de l'oublier très vite, pas de commencer à tisser des liens avec un parfait inconnu.
- Je suis née ici.
- Vraiment ? Tu as l'air si...
- Détachée ?
- Voilà.
- C'est normal, dit-elle en haussant les épaules. J'évite de m'attacher aux gens ou aux endroits.
- Mais tu as bien de la famille ici, pourtant ?
- J'avais une famille, oui. Mes parents étaient des Anti-C un peu farfelus qui tenaient une épicerie. J'ai travaillé avec eux pendant pas mal de temps avant de changer d'air. Ils croyaient à une conspiration organisée par des reptiliens venus de je ne sais plus quelle étoile, qui nous contrôlaient via les consoles, c'est pour ça qu'ils n'en avaient pas. J'y croyais aussi avant, mais quand j'ai eu ma première console pour mon premier vrai boulot, j'ai vu que personne ne me contrôlait. Et puis, nos chemins ont divergé. Je n'ai plus de nouvelles depuis des années.
- Merde. C'est important, la famille.
- Je sais...
- C'était quoi, ton premier vrai boulot ?
Encore des questions. Ne va-t-il donc jamais s'arrêter ? Elle soupire. Elle est chez lui, elle doit donc se plier à ses règles et respecter son hôte.
- J'ai commencé à l'hôpital Phoboz du Loop comme aide-soignante. Je n'aimais pas particulièrement prendre soin des patients, mais j'adorais comprendre comment fonctionne le corps et à quelle vitesse. Et puis, j'ai fini par assister un grand chirurgien. Il m'a appris à comprendre les moindres rouages du corps humain, quels nerfs, quelles parties du cerveau servent à assimiler les implants, comment ils affectent notre organisme et comment une symbiose parfaite fonctionne. C'était un homme fascinant.
A ces mots, elle marque une pause, son regard se perdant dans ses souvenirs. La disparition tragique suite à une grave erreur médicale de celui qui fut son professeur, ami et amant, continue de l'affecter.
- Et ? insiste-t-il.
Mary lui sourit, croise les jambes, prend ses aises dans le fauteuil. Visiblement, l'entendre raconter sa vie le passionne. Soit. Elle n'a pas fait ça depuis si longtemps qu'elle a oublié ce que c'était d'être écoutée.
- Et j'ai fini par démissionner, dit-elle sans rentrer dans les détails de sa vie privée. C'était en 2164.
L'homme reprend une gorgée d'eau, change de position sur le lit.
- Et maintenant, tu fais quoi ?
La question fatidique. Mary a toujours un court moment d'hésitation avant de répondre.
- Je suis Corpse Diver.
Il a un hoquet du surprise, mais Mary n'y fait pas attention. Ça fait treize ans qu'elle fait ce métier, elle est habituée depuis longtemps à toutes sortes de réactions.
- Tu... es une Désoss' ?
- Non.
Elle a expliqué la différence entre elle et ces charognards tant de fois qu'elle en est lasse. Un simple "non" devrait lui suffire.
- Bien sûr que si, insiste-t-il.
Bon. Ce "non" n'est apparemment pas suffisant. Elle se lève et va le rejoindre sur le lit, parcourt son corps du bout de ses doigts.
- Les Désosseurs sont de vulgaires bouchers, grossiers, avides, comme des hyènes affamées.
L'index et le majeur effleurent l'épaule, glissent sur la nuque et les ports neuronaux de l'homme.
- Moi, continue-t-elle, je suis une artiste. On me paie cher pour mes services, parce que je suis discrète, et que je fais un travail propre. Les implants que je retire aux corps fraîchement décédés sont toujours en parfait état, nettoyés de leurs éventuels virus, prêts à l'emploi, repartis pour une nouvelle vie dans un nouveau corps. Et on me paie encore plus cher pour rapporter des puces ou des implants de grande valeur intacts sans poser de questions.
L'homme ferme les yeux sous les caresses, mais Mary le sent quand même un peu tendu. Réaction normale lors d'une discussion de ce genre.
- Tu fais quand même la même chose que les Désoss'. Pas la peine de dire que tu fais ça proprement. Tu pilles les cadavres.
- Je les laisse presque toujours là où je les trouve, pour qu'ils soient facilement retrouvés, contrairement aux Désosseurs qui les traînent dans leur antre. Je ne les charcute pas, je n'arrache rien. Tout est très... précis.
Lorsqu'elle prononce ce dernier mot, sa main gauche se déplie, dévoilant plusieurs outils de chirurgie. D'habitude, elle récite son petit texte de manière machinale, l'ayant tant de fois répété. Mais ce soir, sans trop savoir pourquoi, elle décide d'y mettre un petit grain de fantaisie.
- Tu travailles pour les Corpos, j'imagine ?
- Oui, entre autres. Ce sont eux qui paient le mieux, pourquoi m'en priver ?
- Ce n'est pas dangereux ? Tu n'as pas peur de te retrouver dans des affaires sordides ?
- Si, et ça m'est déjà arrivé.
A cet instant, sa vue se brouille et sa tête se met à vibrer. Elle pousse un cri pendant que défilent devant ses yeux des images floues, comme un programme télévisé crypté.
- J'ai tout enregistré, "Seven", entend-elle comme s'il était dans une pièce voisine. C'est bien comme ça qu'on t'appelle, hein, toi qui as sorti sept implants de ton premier contrat alors qu'on ne t'en demandait qu'un ? Eh oui, ma grande, je sais pas mal de choses sur toi. Et je vais continuer d'enregistrer. Comme ça, les huiles d'Osinski pourront en profiter. Qui sait, ils me paieront peut-être plus cher que toi pour ce joli film qu'on va faire tous les deux !
Elle l'entend rire pendant qu'elle s'écroule au sol, rampe pour tenter de fuir. Elle a l'impression que son crâne va exploser, et peut-être que ce sera le cas si elle ne trouve pas rapidement une solution.
Il s'approche, l'attrape par les cheveux. Elle pousse un cri, mais pas de plaisir, cette fois.
- Ma mission parlait d'une puce très très très importante pour eux, que tu aurais découpée sur un type de chez eux qui s'est fait refroidir, il y a quelques semaines. Ça disait aussi, ajoute-t-il très lentement en resserrant son étreinte, que tu les aurais doublés pour la revendre plus cher à Matratech.
Mary s'aggrippe à son poignet, tente de le faire lâcher prise, en vain.
- Eh bien, figure-toi que chez Osinski, ils n'ont pas du tout apprécié.
- C'est... c'est Matratech... Ils ont essayé de me buter...
Il la lâche enfin, elle s'éloigne rapidement, se plaque contre un mur. Sa vision redevient progressivement aussi nette qu'avant.
- Ne me mens pas ! crie-t-il. Je sais très bien qu'ils t'ont simplement payée plus cher !
- Oui, dit-elle en retrouvant son souffle. Après avoir essayé de me buter.
La tendance s'inverse. L'homme, auparavant plein de confiance en lui, commence à perdre patience. Mary, auparavant désemparée, n'attend qu'une erreur de sa part.
Et cette erreur ne tarde pas à arriver.
L'homme a dégainé un vulgaire couteau de cuisine.
- Tu aimes charcuter les gens, hein ? Moi aussi, dit-il. Mais moi, je ne fais pas ça proprement.
Il rit à nouveau alors qu'il se penche vers elle, visant visiblement sa console. Aussitôt, elle déploie son Hand-Kit aux deux mains et le larde de coups grâce à ses bistouris, scalpels et autres ciseaux. Le sang fuit par les dizaines de blessures pas plus larges que des coupures, et il s'écarte d'un bond en hurlant. Mary attrape ses vêtements, sachant très bien que plus personne ne peut plus rien pour lui. Les coupures, trop nombreuses, certaines trop profondes, ont fait d'énormes dégâts. Il tombe à genoux, grogne de douleur et de colère, et Mary sait qu'il ne peut plus rien y faire. Elle prend donc son temps pour se rhabiller, afin de ne pas attirer l'attention une fois dans la rue. L'homme la traite de tous les noms entre deux gargouillis, et elle entend les voisins taper aux murs pour faire cesser ce vacarme.
Pendant un instant, elle considère l'idée d'attendre qu'il meure pour lui retirer ses implants. Mais c'est trop risqué, quelqu'un pourrait la surprendre en plein travail. Et puis, un bête système de piratage ne vaut pas grand-chose en ce moment.
Elle le laisse donc là, baignant dans son sang. A ce stade, ce n'est plus qu'une question de secondes.
Une fois dehors, elle prend une profonde inspiration. Elle a pris trop de risques, ce soir. Il faudra qu'elle fasse encore plus attention à l'avenir.
A quelques pas de l'entrée de l'immeuble, elle retrouve sa moto noire aux roues ornées de néons orange. Elle démarre, et au bout de quelques centaines de mètres, elle a déjà oublié le visage de son agresseur. Elle n'a à présent qu'un objectif en tête : retrouver son lit aux oreillers rafraîchissants et y dormir pendant douze longues heures.[/histoire]
[sousSection option="PLACE A CLOUD CITY"][subtitleFiche]Groupe principal[/subtitleFiche]
[arrow] Outlaw
[subtitleFiche]Sous-groupe[/subtitleFiche]
[arrow] Indépendante
[subtitleFiche]Opinion du personnage[/subtitleFiche]
[arrow] En tant qu'Outlaw, Mary se rend bien compte que ce n'est pas la branche la plus facile à Cloud City. Beaucoup, comme son père, développent une paranoïa chronique qui les pousse à la folie pure. Heureusement, ce n'est pas le cas de Mary. En tant qu'indépendante, elle n'a que très peu d'attaches, et sait quand et où fuir. Toujours avoir un plan B, un plan C et un plan D. Si on veut éviter de finir cyberpsycho, c'est la meilleure voie à suivre.
[arrow] Les civils et les anti-C font partie du décor de la ville. Chanceux sont ceux qui parviennent à survivre, et bienheureux sont ceux qui échappent au moindre danger. C'est une vie ordinaire dans une ville extraordinaire, ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose. Ils sont les cuivres et les cordes de l'orchestre de Cloud City : indispensables, omniprésents, mais pas très originaux. Mary elle-même est issue de ce milieu, mais malgré son attachement à ses racines, elle est bien contente d'en être sortie.
[arrow] Pour Mary, la Cloud City Police représente les percussions de l'orchestre : elle donne le rythme, sourde, forte, grondante, vibrante, s'impose au bon moment, et disparaît en laissant son empreinte dans les estomacs - parfois littéralement. Autorité, ordre, discipline, et pas de seconde chance. Si elle avait voulu moins bien gagner sa vie, elle l'aurait peut-être rejointe.
[arrow] Les Mercs sont ces instruments étranges, venus de pays lointains, qu'on intègre dans un orchestre classique pour y donner un peu de couleur. Une explosion, la une du journal, et puis plus rien, jusqu'à la prochaine fois. Parfois, le choix de l'instrument a eu un tel succès qu'on en parle pendant des années, et c'est comme ça que naissent les légendes. Mary n'a jamais été attirée par ce mode de vie. Trop aléatoire, trop dangereux, espérance de vie trop courte. Mais elle respecte profondément ceux qui parviennent à se faire un nom.
[arrow] Les Corpos sont bien entendu les chefs d'orchestre. Tous les instruments jouent en suivant leurs moindres faits et gestes, parfois pour le meilleur, souvent pour le pire. Mary, elle, y trouve son compte. Son métier, très peu répandu parce que très peu connu, lui rapporte des sommes confortables, et elle se considère comme ayant "tous les avantages des Corpos sans les inconvénients".
[/sousSection]
[sousSection option="DERRIÈRE L'ECRAN"][float]
[/float][arrow] Votre pseudo sur le net ? Marv, Dag, ou Marvdag[arrow] Comment avez-vous découvert le forum ? J'ai tapé "forum RP SF" sur Google, et ce forum était en première place. Je cherchais du cuivre, je ne m'attendais pas à trouver de l'or !
[arrow] Connaissez-vous un peu l’univers de Cyberpunk ou vous le découvrez ici ? J'ai toujours adoré le transhumanisme, les dystopies, les années 80 et le synthwave, sans savoir qu'il existait un genre qui réunissait tout ça. Quand le jeu est sorti, je me suis plongée dedans et je suis devenue tout de suite accro (j'avais très peu de bugs contrairement à pas mal de gens, donc j'ai pu apprécier toute la beauté du jeu sans problème). J'ai aussi découvert que mon chéri, ancien rôliste averti, possédait une impressionnante collection de bouquins du jeu de rôle Cyberpunk 2020, et je les ai dévorés en quelques jours !
[arrow] Par rapport au système d’avertissement PEGI, y a-t-il des thématiques et sous-thématiques auxquelles vous préférez éviter d’être confronté ? Absolument aucun, faites-vous plaiz !
[arrow] Confirmation que vous avez lu et que vous acceptez le règlement : Règlement lu et accepté
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Bienvenue par ici Mary ! 
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Bienvenue par ici, j'ai hâte d'en lire plus sur ce personnage déjà si prometteur. 
