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Faites-nous peur

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Ploc ploc
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362f34bba39b1b39220669c43340ae7f61496378.gifJ’étais rentré tard, y’avait plus de courant dans la baraque comme dans la moitié du quartier, une putain de tempête avait grillé des trucs et avait foutu le chaos dans la ville. Là encore, on était pas la priorité. Y’avait plus important à faire que remettre la lumière dans les pires quartiers de la ville. Me trainant sur le canapé du salon, je m’y étais éclaté, cherchant à dormir avant qu’un bruit m’arrache à mon sommeil. Un putain de ploc, récurrent. Ploc, ploc, ploc. Incessant, angoissant limite, tant il me donnait l’impression de résonner dans toute cette putain de pièce. Me levant alors, j’avais commencé à faire le tour de tous les robinets, les vérifiant avant de comprendre que ça venait pas de là. Y’avait rien qui coulait.

Revenant dans le canapé, j’avais fini par m’allonger, à nouveau, jusqu’à ce ploc, encore ce putain de ploc. J’allais devenir dingue, ça me rendait dingue.

Collant ma tête entre deux coussins, j’avais alors cherché à étouffer le bruit avant qu’un hurlement ne me fasse sursauter. Un hurlement de désespoir. Encore une pute morte, j’en étais sûr, j’avais même pas envie d’aller voir, je voulais juste dormir. Je voulais juste… J’étais crevé. J’étais juste putain de crevé.

Ploc… Ploc…

La fatigue et l’épuisement me rendaient lourd, mais il y avait une odeur, une odeur de sang.

Ploc… Ploc…

Me levant à nouveau, nauséeux, j’avais titubé, avançant vers la salle de bain. Mais j’avais pas pu ouvrir cette porte. Il y avait eu un autre hurlement, de désespoir. Des pleures, des gémissements et un instant je crus reconnaitre ma sœur. Secouant la tête, j’avais ouvert la salle de bain, mais rien. Jamais rien.

Alors j’étais retourné me coucher, j’avais fermé les yeux, cherchant le sommeil avant qu’encore une fois, ce putain de ploc me réveille. La nuit semblait éternelle comme mes aller-retour. Pourtant mon corps en avait besoin, désespérément besoin. La fatigue me faisait presque mal, mais peut-être moins que ce ploc, que ces hurlements. Mais toujours rien, il n’y avait toujours rien. J’arrivais pas à trouver, je tournais en rond, me levant, pour me recoucher, minutes après minutes.

Ploc, ploc.

L’appartement ne m’avait jamais semblé aussi sombre, aussi froid alors que je sentais mes doigts à présent raides. Une femme avait à nouveau hurlé, l’odeur était revenue plus forte encore et… Ploc… Chaque mouvement semblait à présent plus pénible que le précédent. Chaque respiration aussi. J’étais putain d’épuisé, l’air avait même un goût de sang. Et ce froid… Retrouvant le canapé, j’avais essayé de me réchauffer, j’avais essayé de lutter… Mais ploc… Encore ploc… Toujours ploc… Quoi que je fasse, quelque chose coulait quelque part, quelque chose n’avait de cesse de se répondre. Ploc… Ploc… J’agonisais dans ma fatigue, respirer était de plus en plus difficile, mes épaules me tirant, la pièce commençant à tourner… Mais ploc, encore un ploc… Toujours un ploc… J’allais finir fou si ça continuait, j’allais finir par vriller. Mais je ne trouvais pas et elle… Elle hurlait. Pourquoi quelqu’un continuait à vider ses poumons, c’était pas possible de la fermer ? Quoi qui soit mort, c’était visiblement définitif et réveiller le quartier n’y changerait pas.

Ploc, ploc.

J’avais aussi envie de hurler, envie retourner l’appartement et… Ploc. Ploc.

Comment ça pouvait continuer, pourquoi j’étais le seul à être réveillé. Pourquoi Aaron ou Sarah n’arrivaient pas à bouger leurs culs pour m’aider ?! Pourquoi ils n’entendaient pas cette pétasse s’étouffer dans son désespoir ?! Ploc, ploc… Me levant à nouveau, j’avais manqué de finir au sol, j’avais l’impression d’être au bord de la mort, j’avais l’impression que ma fatigue allait m’abattre. Ploc… Ploc… Et pourquoi personne ne bougeait ?!

Ouvrant la porte de la chambre, j’avais fait face à un lit vide. Pourquoi personne était là et… Pourquoi ce n’était pas notre lit ? Ploc… Ploc… Je reconnaissais ce lit, mais… Ploc, ploc… J’étais à l’hôtel… Alors qu’il y a une seconde, j’étais… Ploc… Ploc… Tournant la tête vers la porte de la salle de bain, j’avais avancé, lourdement. Ploc… Ploc… Je venais de marcher dans quelque chose de poisseux, de sombre. Quelque chose qui coulait sous la porte. Ploc… Ploc… Ouvrant la porte, j’avais eu un mouvement de recul avant qu’un haut de cœur ne me fasse me courber pour… Je n’avais rien à vomir… J’avais… Ploc… Ploc…

Ploc… Ploc…

Ploc… Ploc…

Ploc… Ploc…

Relevant les yeux, j’avais avancé, fébrilement, mes pas de plus en plus trainants, filant sur le sol. Tout était… Poisseux… Collant… Ma vision se brouillait et… Elle hurlait, elle hurlait encore et… Ploc… Ploc… Tendant la main, j’avais fini par frôler ce corps tiédi, j’avais fini par toucher le… Ploc… Ploc… Tout me revenait. L’espace d’un instant, tout était revenu. Je connaissais cette chambre, cet hôtel, car j’y avais été. Car j’avais suivi une femme un peu trop prompte à vouloir me payer. Je connaissais les lieux car je m’y trouvais il y a à peine quelques heures. Ploc… Ploc… J’avais à peine senti la lame rentrer dans mon corps. L’instant d’avant je m’essoufflais contre sa peau et la seconde d’après… La douleur était arrivée bien plus tard, me paralysant presque aussitôt avant de tomber sur le côté, avant de me faire trainer dans la salle de bain pour m’y faire suspendre par les bras au pommeau. Et puis il y avait eu cette sensation. La brulure déchirante de ses doigts à présent mécanique se glissant dans mes orbites pour en arracher mes globes.

J’avais cessé de voir, j’avais cessé de comprendre réellement.

Ploc, ploc.

J’avais simplement ressenti les coupures, les découpes avant qu’elles ne deviennent vaporeuses. Avant qu’elles ne m’éteignent pour ne me laisser que dans un état de semi-conscience, dans un état second, en pleine divagation… Ploc… Ploc… Mon propre sang avait poussé ma folie à accepter la réalité. Mais ces hurlements ? Sarah ? Pourtant, je ne pouvais plus la voir, je pouvais simplement sentir la lourdeur de la mort. Je pouvais simplement sentir le froid de l’agonie me faucher. Je ne savais plus, je ne savais pas. Je ressentais simplement la mort et…

Une sueur froide… Me redressant d’un coup, j’avais été aveuglé par le soleil me frappant en plein visage… Et… Je voyais… J’avais chaud et… Putain… Un cauchemar, juste un putain de cauchemar… Soupirant de soulagement, je m’étais laissé retomber dans le canapé, respirant à plein poumons. Un putain de…

Ploc… Ploc…


☽ • ☾
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Charlie MacLeodInspectrice | Modératrice
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Un tour sur moi-même et je souris au reflet du miroir. Y a pas à dire, je suis canon. Un dernier coup de rouge à lèvres et me voilà sortie. Rien de réellement prévu, mais j’ai bien l’intention d’en profiter. Pas que ça ne m’arrive pas souvent, mais le boulot est un peu anxiogène en ce moment. Tout le temps. Et je l’adore toujours autant, juste que ouais, j’ai besoin de décompresser !

Ce que je fais pendant une paire d’heures, finissant même par arriver dans un bar à Southbank. Ce qui m’arrive assez régulièrement aussi. Ici, personne ne me connaît, enfin si évidemment, je suis difficilement oubliable, mais il n’y a ni jugement, ni mépris, ni on-dit. Et ça vaut bien de l’alcool de moindre qualité et des toilettes à la propreté douteuse je vous assure.

Je refuse d’un signe de tête l’offre d’un nouveau verre par… C’est quoi son prénom déjà ? Alex ? James ? Brad ? Peu importe, il n’est pas assez mignon pour que je m’en souvienne. Ça ne m’arrive pas souvent de refuser, mais j’ai la tête qui tourne un peu, je n’ai pourtant pas l’impression d’avoir tant bu que ça. Quoi que… peut-être bien que si. Et il fait chaud.
Je sors du bar et inspire profondément l’air frais. Pollué et vicié, mais frais. Toujours plus qu’à l’intérieur en tout cas. Je reste un instant devant la porte, fumant tranquillement ma clope, comme si elle allait faire passer cette foutue migraine. J’hésite à appeler un taxi, mais quelques pas me feront du bien, je l’appellerai quand je n’aurais plus envie de vomir.

Quelques minutes de marche et j’ai cette foutue sensation d’être suivie, vous savez quand vos poils se hérissent et qu’une petite voix vous dit qu’un truc cloche sans parvenir à mettre le doigt dessus ? Le pire, c’est qu’elle a le timbre de ma sœur, cette foutue voix, ce qui la rend encore plus agaçante. Je m’arrête, allumant une nouvelle clope, en tendant l’oreille, mais les pas ont cessé aussi. Ou je les ai imaginés ?
Reprenant ma route, mon cœur s’accélère quand je me rends compte que la voix avait raison, des pas résonnent de façon quasi synchrone avec les miens.

Je stoppe à nouveau, regardant autour de moi. Merde, je suis où ? J’ai tourné au mauvais endroit ? Je me retourne pour faire demi-tour et je me fige. Une silhouette me fait face, trop loin pour que je distingue quoi que ce soit… mais sur ma route. Je cligne des yeux, le temps de scanner ses implants. Merde, okay ça pue. Un frisson me remonte le long de la nuque et je fais un pas en arrière. J’en connais une qui m’aurait engueulé en me disant qu’il ne faut pas montrer sa peur, mais je n’y peux rien. Nouveau demi-tour et j’accélère, sans pour autant encore courir. Je ne vais pas m’en faire pour si peu. Il peut aller dans le même sens que moi après tout.

Ce n’est que lorsque j’aperçois une autre silhouette qui semble attendre, dans une rue adjacente, et que je vois ses implants à lui aussi que je commence à paniquer.

Et je me mets à courir quand le second homme se dirige vers moi à son tour. Les pas – bel et bien réels – accélèrent aussi dans mon dos. Je tente un appel, mais personne ne répond. Sérieux, à quoi ça sert d’avoir des services de police s’ils ne répondent pas ? Perturbée par l’appel, je ne vois pas le trottoir, me cassant la gueule dans un cri. Mais je n’ai pas le temps de noter les écorchures et les bleus, ils me rattrapent beaucoup trop vite. CRISIS ne fonctionne pour les écorchures ? Je n’ai pas eu de messages, j’en doute. Peut-être que si je cogne plus fort… Mais je ne peux pas. Ils se rapprochent beaucoup trop.

J’essaie de me dire que ça ira, que je m’en sortirai, que… Je tourne dans une ruelle, puis dans une autre, et je tente de me cacher derrière un conteneur, le temps de reprendre mon souffle.

Et je l’appelle. Parce qu’il faut bien que j’appelle quelqu’un. Parce qu’elle… elle aura besoin de savoir. De m’entendre. Parce que j’ai besoin de l’entendre. Mais je tombe sur le répondeur et un sanglot m’échappe. Ils se rapprochent, ils vont me trouver.

Je rappelle pour laisser un message.

« Là-bas ! »

Je suis désolée, tellement tellement désolée. Et je ne veux pas… Je ne peux pas finir comme ça.

Je repars et cours. Et je chute à nouveau, me relevant tant bien que mal, alors que des larmes coulent sur mes joues. Ils sont là, trop près, et me bloquent le passage.

« Salut trésor. Tu nous auras fait courir. » « S’il vous plaît. J’ai de l’argent, je vous donnerais ce que vous voulez et... » L’homme met son doigt devant sa bouche. « Chuuuut, c’est inutile. »

Le second homme s’approche, un sourire aux lèvres, et je n’ai pas le temps de m’échapper que son index se presse contre ma peau. « Non… » Son sourire s’agrandit et un lueur cruelle apparaît dans son regard. « T’en fais pas. C’est une dose pour éviter que tu ne fasses trop de bruits. Tu restes avec nous. »

Quoi ? Non, non, je… Je cligne des yeux et ma tête roule en arrière. « Là. Tu vois. » J’essaie de me débattre, mais je n’y arrive pas, et je finis sur le sol dégueu et puant. « Les mains, Europremium. Les yeux, Gammas. On aura le temps pour l’Exocortex Aéthéré ? » L’autre homme s’approche et insère une puce dans mon PE. « On va tenter. »

Je tente de hurler, mais aucun son ne franchit mes lèvres. Ma tête commence à tourner, alors que je vois les outils de chirurgie remplacer ses doigts. La douleur explose en même temps que le sang éclabousse ma si jolie robe. Et je hurle à m’en arracher les cordes vocales. Ou je crois le faire du moins.

Charlie

La souffrance et l’anesthésiant prennent le dessus et tout s’éteint.  

Charlie ! Réveille-toi !

Trempée de sueur, elle se réveille en sursaut, le cœur tambourinant contre sa poitrine. Elle essuie ses larmes, nos larmes, sans comprendre d’où elles viennent, sans parvenir à contrôler cette terreur qui est la mienne. Comment le pourrait-elle ? Je ne comprends pas moi-même.

Charlie ?

Je baisse le regard sur mes mains, mon cœur se brisant en même temps que le sien quand elle entend mon message. Ce n’était pas une si bonne idée finalement.

Je suis désolée. Elle relève les yeux et croise mon regard dans la vitre. Mais elle est trop affolée pour comprendre.

Duilich piuthar bheag.

Elle finira par me voir. Elle finira par m’entendre. On finira par trouver une solution.
Parce que je suis toujours là.
Que je serais toujours là.
Vivante.
Ou morte.

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[notif]- CloudCity- [31 octobre 2177]
**Reportage en Direct : Le Mochi Maléfique**

*Journaliste : Clara Declair*

Nous sommes en direct de South Bank qui est le théâtre d'un événement incroyable et terrifiant. J'en crois à peine mes yeux...

*Image de la rue principale, les habitants courant dans tous les sens, tandis qu’un mochi géant, aux yeux vifs et à la texture gluante, avance lentement.*

On dirait qu'un... Un mochi a pris vie et sème la panique parmi les habitants... Je... Je ne pensais jamais dire ça mais vous m'avez bien entendue, cette pâtisserie japonaise à base de riz gluant a mystérieusement pris vie et grossit au fil de sa progression, absorbant tout dans son sillage. D'où vient ce phénomène ? Esprit maléfique qui a décidé de prendre possession de ce qui traînait sur la table ? Étranges expériences des corporations qui a échappé à ses créateurs ? Nous l'ignorons et... Oh mon dieu, il détruit tout.

« Regardez-le ! » s'exclame un témoin, la voix tremblante. « Il absorbe tout sur son passage ! Des voitures, des décorations d'Halloween, même des gens ! Il a mangé ma femme !»

*Les cris résonnent dans la nuit alors que le mochi dévore tout ce qui l’entoure. Des enfants terrifiés se cachent derrière leurs parents, tandis que les adultes tentent de fuir. Les sirènes de police retentissent, mais il semble que rien ne puisse arrêter cette créature sucrée.*

Il vient vers nous, vite Brad, on s'arrache et... 

*La caméra s'éteint et le programme est interrompu.*[/notif]

Choqué, Evann quitte l'écran des yeux. Les hurlements se font entendre. Ce n'est pas du cinéma, c'est réel. Dehors, c'est le chaos. Sa guitare sur le dos, son bien le plus précieux, il quitte son appartement, conscient que le mochi fonce droit sur lui. Il se met à courir, slalomant entre les badauds. Certains trébuchent. Il se retourne, la curiosité le poussant à regarder. « Au secours, pitié, aidez-moi !!! » La femme a les yeux écarquillés de terreur et la masse mouvante avale alors ses pieds. Ses hurlements vrillent les tympans d'Evann. La femme disparaît, engloutie par la gluante pâtisserie. D'autres subissent le même sort. Derrière le monstre, des débris de ferraille, des implants rejetés. Le jeune homme, horrifié, sort de son état de sidération, redouble d'énergie, avant de se retrouver bloqué dans une impasse. Et merde... merde, merde...

Résolu à mourir en beauté, il attrape son instrument et gratte les cordes... Il ferme les yeux, attendant sa mort. Mais, à l’écoute des rythmes entraînants, le mochi semble hésiter, ses mouvements ralentissant. Evann rouvre les yeux alors que la mort ne vient pas... Surpris, il remarque que le mochi s'est arrêté. Il redouble de dextérité et de frénésie, jouant un chant gypsy. Le mochi, pris dans une sorte de transe, se met à vibrer. Les couleurs de la pâte changent, et une lueur inquiétante émane de lui. Le mochi, en proie à une danse frénétique, commence à se déformer, comme s'il était sur le point d'exploser.Et dans un dernier éclat de lumière, le mochi explose dans un nuage de riz gluant qui éclabousse Evann et les alentours. Incrédule, le nomade se plie finalement en deux et vomit. « Je déteste les mochis... »

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Ploc.

J’ouvre les yeux. J’ai la tête en bas, pourquoi j’ai la tête en bas ? Je tourne la tête et j’aperçois le frangin. « Johan ? Maman ? Papa ? » Il me faut quelques minutes pour faire le point et comprendre qu’on est toujours dans la voiture. Qu’on est toujours dans la voiture, qu’elle est retournée et que personne ne répond. Je commence un peu à paniquer et les battements de mon cœur s’accélèrent, venant pulser jusque dans mon épaule. Mes yeux s’écarquillent et je pousse un cri alors que les larmes commencent à inonder mes joues. Et que la douleur semble se réveiller maintenant que j’ai vu le morceau de métal qui me traverse ladite épaule. Douleur qui me fait de nouveau perdre connaissance.

Ploc.

« Marleen ? S’il te plait réponds. Sois pas morte. » « Suis pas morte. » J’ouvre les yeux avec difficulté, me concentrant sur sa voix, ses larmes, ses pleurs. « Papa a bougé, il est encore vivant aussi. » Quoi ? Je fixe la barre de métal, qui me donne envie de vomir tellement j’ai mal, barre qui traverse le siège avant. Le siège où se trouve papa. « Mais il répond pas et il a l’air… pas bien. » Je comprends pas. Je dois me concentrer, mais c’est tellement difficile… Pourquoi les secours sont pas là ? Ça fait combien de temps ?

J’entends un grognement et je me crispe. C’était quoi ça ? Johan aussi a presque cessé de respirer. « Marl… » La peur qui imprègne ce simple murmure me retourne l’estomac. Je dois… faire quelque chose. On doit… ma main cherche la boucle de ceinture et j’appuie dessus. J’aurais sans doute dû réfléchir, j’aurais jamais fait ça si j’avais réfléchi, j’aurais trouvé autre chose, j’aurais compris. Peut-être. Mais j’appuie. Et mon poids m’entraîne, me fait chuter, m’arrache à cette barre de métal.

Un hurlement explose dans l’habitacle et je crois qu’il vient de moi. Mais il s’éteint rapidement, et moi avec.

Ploc.

« Marleen ! Marleeeeeeeeen !! Réveille-toi steplé ! Marleeeeeen... » Les sanglots et suppliques finissent par me tirer de ma torpeur, de ce sommeil qui s’apparentait à une mort, ou qui risquait de m’y mener du moins. J’ouvre les yeux et tente maladroitement de me redresser, ce qui m’arrache un nouveau cri. J’ai mal. Mon épaule. J’ai froid, il fait froid. Il fait sombre aussi non ? « Marleen ?! » Je prends appui sur une main et me relève, me décollant de cette mare de sang qui s’étendait sous moi. Un croassement m’échappe. « Suis là. » Je me mets à genoux et parviens à fixer mon attention sur son visage. « Ça va. Ça va. » « J’croyais qu’t’étais morte ! Et je voulais me détacher, mais j’allais te tomber dessus ! Mais t’es pas morte ! Et… » Je pose ma main sur sa joue. « Je vais bien. »  « Ton épaaauule… » Je regarde et mes yeux s’écarquillent alors que je commence à faire une crise de panique en voyant mon bras pendre à moitié, mon épaule à moitié ouverte. J’arrive plus à respirer, j’arrive plus à… J’arrive plus…

« Maaarl… » L’air paniqué et perdu, je regarde de nouveau le visage de mon petit frère, couvert de morve et de larmes. « Il a bougéééé. » Ce nouveau murmure a le mérite de stopper net cette vague de panique. Et de faire cesser mon cœur aussi. Il fixe un point derrière moi et je me retourne vivement. « Papa ? » A un autre moment, j’aurais sans doute honte de cette voix de petite fille terrifiée, mais là, je suis justement bien trop terrifiée pour m’en soucier. Le corps de papa est tourné vers nous, et un son guttural s’échappe de sa gorge. Il tend un bras et je m’écarte vivement en criant. Son regard est voilé, vide, sans vie.

Sortir, il faut sortir.

Johan ! Je me tourne vers lui. « J’peux pas te rattraper, ça va faire mal. » « Détache-moi ! » Il pleure et sanglote, et j’appuie sur la boucle. Il tombe dans un bruit sourd, mais il se relève déjà et j’ouvre la portière tant bien que mal. Il sort, mais je chute derrière lui, sans pouvoir me rattraper. Mon menton tape le sol et des étincelles multicolores apparaissent devant moi. Le souffle coupé, la douleur obscurcit ma vision et me fait vaciller au bord de l’inconscience.

C’est à nouveau son hurlement qui me fait réagir. Papa… ce qui était papa s’est détaché lui aussi, arrachant la moitié de sa cage thoracique au passage, et il m’a attrapé le pied, remontant lentement vers moi, s’accrochant, tentant de me mordre et de me tirer vers lui. J’arrive pas. J’arrive pas. J’arrive pas ! Un nouveau cri et je repousse le corps d’un énième coup de pied. Je sens Johan qui me tire par le bras, mais il hurle de nouveau et s’écarte de moi. Je tourne la tête, pour voir ce qu’il reste de maman s’avancer vers moi, rampant sur le sol. Et je reste un instant figée à la contempler, à fixer la moitié de son corps déchiqueté ramper vers moi, tendre les mains vers moi.

Un hurlement naît au fin fond de mon esprit, la terreur et l’horreur menacent de m’engloutirent. Johan. Il faut que je m’occupe de Johan.

Je sais pas comment, mais je parviens à me remettre debout et Johan attrape ma main. Je le sens trembler quand il se réfugie et se cache contre moi. On doit partir, trouver de l’aide, se mettre à l’abri. Et je me rends compte que les bruits autour de nous s’intensifient ou c’est peut-être juste que je m’en rends compte maintenant. Et je vois des silhouettes, plus loin, qui se rapprochent. L’accident les a attiré ? Ou nos cris.

On commence à s’éloigner, à courir,  à se perdre dans les environs. Je sais même pas où on est. Je… Je dois m’arrêter. Je tombe à genoux, entraînant Johan avec moi. « Marl. » J’ai mal, tellement mal. Tout mon côté gauche irradie et me lance, ma cheville me brûle, j’ai l’impression qu’on me brûle de l’intérieur, j’ai tellement envie de dormir, juste de dormir et… « Je sais. » Debout. Une jambe, puis l’autre. Je cille et me plie en deux pour vomir. Je peux pas tenir. Ma tête me fait tellement mal. Mais j’ai pas le choix. Je dois avancer. Le mettre en sécurité.

On repart, mais on finit par ne plus rien voir, alors je le pousse dans une petite cavité. « On va rester là pour cette nuit. » Il hoche la tête, épuisé, effrayé, abattu. Et il finit par s’endormir.

Je crois que moi aussi.
Tout devient noir. Il fait tellement froid. J’ai tellement chaud. Ou froid. Et mal… Non j’ai plus mal. C’est marrant. C’est cool.

Mais j’ai faim.

Un hurlement perce les ténèbres. Il tente de se débattre, il pleure, il crie. « Marleen. Marl… Marl. » Sa petite voix s’éteint. Son corps finit par ne plus bouger.

La mare de sang autour de lui grandit. Elle se désintéresse de lui et se relève, l’épaule et les chairs déchirées, le regard voilé, vide, sans vie.
Elle a encore faim.

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Bip. Bip. Bip. Bip. Le son répétitif et exaspérant résonnait, alors qu’Ebon peinait à ouvrir les yeux. Sa vue lui semblait floue, le ramenant des années en arrière, alors qu’il n’avait que dix-sept ans. Qu’il était dans une chambre similaire, où les mêmes bips incessants provenaient d’une machine à laquelle il était branché. L’adulte cligna des yeux plusieurs fois, chassant définitivement le passé, alors qu’il commençait à se souvenir : il sortait d’une opération particulièrement invasive, pendant laquelle il avait remplacé l’intégralité de ses organes par des implants artificiels. Qui ferait un meilleur pilote que quelqu’un qui n’avait aucun besoin physiologique, et pouvait piloter des heures durant ? C’était la dernière étape de sa liste, après avoir remplacé ses jambes. Seul son visage, ses yeux exceptés, restait intact, symptôme de sa vanité.

« Monsieur Campbell, vous devez libérer la pièce pour le prochain client. » Ebon était déjà surpris que l’employée qui venait de s’adresser à lui sache son nom, mais il interrompit ses gestes, alors qu’il essayait de sentir le métal sous son torse, palpant les différentes parties de ce dernier. « Bien sur, au revoir. » Il n’était pas certain d’avoir été entendu par l’automate, une simple poupée chargée de s’assurer de faire partir les clients rapidement, et dotée d’une force surhumaine s’ils ne réagissaient pas assez rapidement.

[highlight]-Trois mois plus tard -[/highlight]

Ça y est. Enfin. Son premier vol, sa première mission, après les semaines de formation, d’entrainement pratique et théorique. Son rêve se réalisait. Ce n’était pas un vol grandiose, il n’accompagnait même pas de clients là-bas, il effectuait seulement le ravitaillement. Il devait, encore, faire ses preuves, lui qui avait dédié sa vie à Orbital Air. Mais rien ne gâcherait son plaisir. Son rêve enfin réalisé.

Guilleret, il ne parvenait même pas à être déçu que son rôle se limite à appuyer sur des boutons, puis à repartir une fois sa cargaison déposée : il pouvait même dormir aux commandes, en réalité, la trajectoire de navigation intégrée par les ingénieurs à terre était gérée par l’IA. Il n’intervenait qu’en cas de défaillance technique. Le plus grand rôle qu’il avait consistait à récupérer des paquets que les habitants de la lune voudraient transmettre à leurs proches sur Terre, ce qu’il se gardait bien de dire à qui que ce soit.

[highlight]- Quelques heures plus tard -[/highlight]

Les navettes et les trajets les plus courts ne concernaient pas les facteurs lunaires, aussi Ebon s’ennuyait-il fermement, à bord, jusqu’à ce qu’une alerte retentisse. Occupé à observer l’éruption d’une planète récemment découverte, uniquement composée d’un volcan, il avait quitté le poste de navigation depuis plusieurs minutes, quand la sonnerie stridente se fit entendre.

Se penchant sur l’écran, qui indiquait qu’ils traversaient un champ magnétique inhabituel et qu’il fallait en extraire au plus vite la navette, Ebon essaya de passer en monde manuel, sans succès, soudainement effrayé par les alertes qui s’activaient les unes après les autres : perte de la pesanteur artificielle, perte du système de destruction automatique des astéroïdes et autres débris spatiaux, perte du système de refroidissement de la cabine, perte de…

L’angoisse que ressentait Ebon augmentait en conséquence de la liste des dysfonctionnements qui augmentait, son calme habituel alors qu’il faisait face aux situations de crise de Crisis ne résistant pas à cette situation inédite, contre laquelle il ne pouvait rien faire. Sentant son estomac se serrer, face à une mort qu’il sentait imminente, il se précipita vers le module de vol de secours, qui permettait de le ramener sur terre sans concession, il n’eut pas le temps de voir le message sur la console de pilotage :

[error]Incompatibilité des implants du pilote, dérèglement de la navette, risque d’explosion, éjection recommandée[/error]

Se glissant dans la capsule qui pouvait le contenir recroquevillé, il lança le protocole de retour sur terre, inconscient que la technologie plus simpliste de cette dernière résisterait encore moins à celle présente dans son corps. Soulagé un bref instant, alors qu’il était propulsé hors de la navette et dans l’espace, la panique reprit possession de son corps, alors qu’il constatait que le tableau de bord devenait rouge, le même son assourdissant retentissant dans ses oreilles. La terre ne devait plus être très loin : pas conçus pour supporter la pression, les capsules voyageaient à une vitesse insoutenable pour quelqu’un qui n’était pas équipé correctement, comme devaient l’être les pilotes humains d’Orbital Air. Mais Ebon était le plus modifié à monter à bord d’un de leurs engins, qui aurait pu prédire ce qui allait se passer ?

Le souffle court, haletant à cause de l’air qui se raréfiait, la panique l’envahissant, il n’eut qu’une pensée pour la lune qu’il n’avait même pas atteinte. Les larmes aux yeux devant son rêve encore retardé, il fallut un instant à son cerveau pour comprendre que la chaleur qu’il ressentait n’était pas normale, pour constater que la capsule surchauffait et qu’un feu s’était déclaré à l’intérieur du petit habitacle.

Tout comme Icare, Ebon avait voulu s’approcher trop près des astres, et tout comme Icare, il s’était brûlé les ailes…

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« Maman, j’ai peur… » La petite voix de l’enfant de six ans est à peine audible, au milieu du bruit dans le couloir dans leur immeuble à Camden Court, alors que des enfants riant criaient pour demander un bonbon ou un sort, devant la mère attendrie de Riley qui leur ouvrait et les gâtait. Une mère de famille qui avait proposé que les enfants se déguisent et fassent du porte-à-porte, pour récupérer des friandises. Un privilège pour les nantis qu’ils étaient, que son père avait qualifié de gaspillage.

Si elle aimait la magie et les fées, elle craignait les malédictions et les sorcières, les vampires et autres créatures sanglantes. Elle courait dans le hall d’entrée en rentrant de l’école, terrorisée par la forêt de citrouilles aux sourires malfaisants qui menaçaient de la dévorer quand elle le traversait. Elle était terrifiée par les fantômes accrochés aux fenêtres, qui lui donnaient l’impression de pouvoir les traverser et l’épouvanter.

Les larmes aux yeux, elle marmonnait une incantation pour les chasser, quand l’un d’eux se refléta sur la fenêtre, avec des yeux rouges maléfiques et un sourire carnassier. D’un bond en arrière, elle se cogna à la table proche de la baie vitrée, alors que sa voix désarticulée se faisait entendre dans le murmure du vent. « Ouvre-moi, Riley, je serai ton ami. » Le cœur battant à tout rompre, tombée sur les fesses, elle recula plus encore, dans l’indifférence – l’entrée était beaucoup trop loin pour que sa mère perçoive ce qu’il se passait. Un cri de terreur mourut dans sa gorge alors que des sillons de larmes brûlantes parsemaient ses joues.

[highlight]---[/highlight]

La lumière s’éteignit subitement dans l’appartement, le quartier entier plongeant dans le noir, le fantôme disparaissant d’un coup. L’enfant se retourna à quatre pattes, essayant de voir d’un air paniqué autour d’elle, cherchant la lumière rassurante de sa veilleuse, mais il n’y avait nulle lueur, nulle source d’éclairage, aucun des néons multicolores qui parsemaient Cloud City auxquels l’enfant était habituée. Son cœur battait à ses oreilles comme elle ne l’avait jamais entendu, son souffle se faisait plus erratique, alors qu’elle avait perdu tous ses repères, elle qui n’avait jamais connu l’obscurité totale.

Et si les monstres étaient là, prêts à la dévorer ? Sentant un souffle sur sa jambe, elle la ramena vers elle, pour entendre un murmure à son oreille : « on peut te rendre plus puissante, tu peux devenir l’une des nôtres, tu n’auras plus jamais peur… » Elle savait que les sorcières et les vampires étaient doués pour susurrer des promesses comme ça. « Si tu deviens mienne, tu verras dans le noir. » Elle était acculée, ayant reculé jusqu’à un mur, s’étant recroquevillée dans un recoin, à la merci des monstres qui l’assaillaient. L’enfant parlait peu, à l’époque, et crier lui était encore plus impossible. « À l’aide ! » Un filet de voix inaudible, la peur lui serrant la gorge.

Un bruit retentit soudain, plus loin. Des globes bleus, apaisants, brisaient la noirceur ambiante, attirant malgré elle l’enfant terrorisée, espérant y trouver un peu de réconfort. Incapable de se relever, elle progressait doucement jusqu’à la source de la lumière, avant que ses prunelles que ses prunelles ne s’illuminent de rouge et qu’un rire glacial n’en sorte. « Un bonbon ou un sort pour Furby ! » Retenu depuis un moment qui lui semblait une éternité, la petite laissa échapper un cri aigu, pur reflet de l’effroi qu’il avait suscité en elle. Riley détestait Halloween, c’était certain.
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[section option="Faites-nous peur - L'heure des votes"][rectangle]Faites-nous peur - Page 3 Scary-stories-campfire[/rectangle]

On a pu lire vos histoires d'horreur au coin du feu ! Tout d'abord, un grand merci pour votre participation ! L'argent et les pex seront distribués dans les prochains jours  love .

Mais maintenant, il est l'heure de voter  Taptaptap !

[sousSection option="Les règles du jeu"][arrow] Vous avez jusqu'au [highlight]28 novembre inclus[/highlight] pour voter !

[arrow] Vous pouvez voter pour [highlight]3 textes maximum[/highlight], en nous indiquant clairement le 1er, le 2ème et le 3ème de votre liste.
Le 1er texte choisi aura 3 points.
Le 2ème texte choisi aura 2 points.
Le 3ème texte choisi aura 1 point.

[arrow] A noter que [highlight]le staff ne votera qu'une fois[/highlight], sous la casquette staffeux, sur le même principe, à une petite nuance près.
Le 1er texte choisi aura 6 points.
Le 2ème texte choisi aura 4 points.
Le 3ème texte choisi aura 2 points.


[arrow] Il faudra envoyer le résultat de vos votes à @White Wall
[highlight]Merci de ne voter qu'une seule[/highlight] fois si vous avez plusieurs personnages. C'est lui qui aura les 500€S de gain de vote !

[arrow] Pour rappel, il était demandé un texte de [highlight]1200 mots maximum[/highlight]. Comme on a vu que vous étiez des petits filous, certains n'ont pas respecté la règle. C'est pourquoi il y aura un [highlight]malus de points[/highlight] de cet ordre :

- 1 points sur le résultat final pour les textes de 1200 à 1250 mots ;
- 2 points sur le résultat final pour les textes de 1250 à 1300 mots ;
- 3 points sur le résultat final pour les textes de 1300 à 1350 mots.

etc.

Le décompte des mots se fera ici pour tout le monde !

[arrow] Un petit rappel des récompenses :

- Le vote des membres rapportera 10 000€S au vainqueur.
- Le vote du staff qui rapportera 5 000€S et... un implant unique.

A vos votes  JumpingInThePuddle  !
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